2017 Le Passager du Gué

 

 

 

QUÉAUX ÉTÉ 2017  « LE PASSAGER DU GUÉ » 

21740011_10208542584636144_6221846537590669852_nPassion quand tu nous tiens, tu nous mènes par le bout du nez !

Et me revoilà à Queaux cet été 2017… C’est sur la rive de la Vienne à Queaux, au passage dit « du gué » à l’aire de Loisirs de « Chez Renard », inspirés par la nature environnante, que nous installons le public.

D’une rive à l’autre, cette création : « Le Passager du Gué » est librement adaptée du texte « Le Paquet » de Philippe Claudel.

https://letheatredulavoir.fr/

L’histoire de ce personnage nous conduit sur les rives de son histoire, comme tous les personnages qui l’entourent, ils semblent échouer sur le rivage. Sa rive est dépeinte avec humour, nostalgie. Gonflé d’un égo démesuré, il joue les golden boy ayant réussi à gravir les échelons de la société. Il fanfaronne tel le clown qui quelques pas plus loin se casse la figure, pinçant sa joue, le visage contrit. Quelque chose cloche dans sa tête. Carambolage de souvenirs et ce paquet (tapis géant saucissonné avec de la corde), quel mystère renferme-t-il ? Sur ces temps de tension euphorique et de dégringolade sont apparus en même temps que lui, venu d’ailleurs, des personnages.    Les pistes sont brouillées : qui sont-ils ? Ses très nombreux amis, l’idée du fantôme de sa femme, de ses compagnons de chambrée, de ses nombreux amis et collègues de travail… tout s’estompe peu à peu. Accompagnant la gestuelle de l’homme, les personnages qui l’entourent révèlent comme une caisse de résonance, la « conscience » de ce conte. La mise en scène nous entraîne dans des montagnes russes, empruntant les chemins de la trivialité comme ceux de la poésie.

http://https://vimeo.com/225647307

Je reste totalement comblé et ému d’avoir retrouvé le public qui me fut fidèle toutes ces années passées. Du Poitou, de Valence, de Paris, de Renne ou de Marseille, notre aventure a provoquée la venue d’amis que je n’osais imaginer autrement que dans mon rêve !

Sur notre site « letheatredulavoir.fr » vous pourrez découvrir les très forts et nombreux témoignages de notre public.

 Anne Klippstiehl, comédienne metteur en scène et auteure, m’écrit ce témoignage personnel.

Bonjour Jean-Marie,

J’ai laissé passer beaucoup de temps, mais je souhaitais t’écrire, comme je te l’avais dit, au sujet de ton spectacle. Et comme j’y pensais ce matin… Sacha m’a dit que tu affirmais que ce serait le dernier ? Si c’est le cas, ou s’il clôt une époque, je vois dans l’entreprise de ton spectacle un peu le reflet de ce que je sais et de ce que j’ai pu comprendre de toi et de ton histoire théâtrale.

Ces images d’eau, ces barques, ce moment hors du temps, qui m’ont fait voyager, dans tes paysages d’enfance, mais aussi m’ont emmenées au bord de nuits vénitiennes, secrètes, sombres et noires, qui s’illuminent au moment d’accoster sur les quais de palais somptueux, d’où la lumière jaillit,  et le « mystère » (dans le sens théâtral du terme), la fête, seraient ma vision de la représentation comme je l’ai vécue.

J’ai eu le sentiment que ton plaisir était tout rabelaisien, réunir ces personnes à nouveau, leur donner leur moment, comme un rêve pour chacun, un moment intense de plaisir dont ils ne pourront que se souvenir, comme d’une madeleine de Proust, avec l’exaltation que permet la création et le partage avec un public si dense, si présent, pour eux, pour toi, pour tes « fêtes théâtrales ».

Et puis ce monologue qui traverse, -un autre rêve?-, mais beaucoup plus sombre, incarné par quelqu’un qui pourrait être toi, qui s’interroge sur la vanité des espoirs, des rêves, sur le mensonge, sur des thèmes qui pourraient trouver leur résonance dans cette phrase de Calderón, « La vie est-elle un songe »? et le monde est-il un théâtre d’illusions ?

Dans ce spectacle, il me semble, tu as réuni ceux que tu aimes, tu t’ai entouré de tes proches, l’hétéroclisme apparent de ces chevauchements a montré la complexité de ce qui te fonde, et la profondeur de tes aspirations. Réussir cela, oser cela, c’est aboutir quelque chose de profond qui parle juste. A ton endroit. C’est certainement un acte de courage intense, puis un accomplissement. Et enfin un apaisement.

Cela montre à quel point, il y a des moments justes pour faire certaines choses, qui arrivent comme des surprises, parce qu’on ne les attend pas, parce que l’on attend rien. Cela me fait penser à la phrase de Beckett, « Essayer encore. Rater encore. Rater mieux »… etc, jusqu’au moment peut-être où l’on décide qu’enfin, on y est.Voilà, Jean-Marie. Bien à toi,

Merci Anne. Je n’ai rien à ajouter à ce regard profond et juste. Jean Marie

 

 (I) 21h00 Les échos du «Passager»

Cela a commencé avec la lune montante qui allait étendre son voile semé d’étoiles…

Dans l’attente du mystère annoncé, les nuits d’été

étaient calmes et douces tant elles éteignaient bien la rumeur du public, tant elle allaient accompagner le passager… 

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 (II) 21h00 (suite) Les échos du «Passager»

En régie, les pupitres s’allument… Effervescence, exaltation, émotion, émoi, trouble ou fébrilité… des cœurs battent en coulisse. Ils s’abandonnent aux fards, accordent leurs voix ou leurs instruments, revêtent leurs personnages en enfilant leurs costumes, rejoignent leurs embarcations…

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 21h30 Apparaissent Jupiter, Mars, Saturne et Vénus l’étoile du berger, guides de nos passagers 

 

 

 

(III) 21h30 (suite) Les échos du « Passager »

Les allumeurs de photophores dessinent avec des balises flottantes un chenal sur la rivière. Ce couloir lumineux est le repère la nuit pour les embarcations, afin qu’elles n’échouent pas sur une rive hostile ou sur les rochers… À ce moment du soir, le calme presque total s’est installé, la rivière semble dormir, en toile de fond l’autre rive sauvage bordée d’arbres, seule une habitation au loin donne un signe de vie.

Devant les spectateurs, la scène s’étale jusqu’à la berge d’herbes folles. Coté « jardin », un rocher et un quai sur l’eau. Coté « Cour », une plate forme prolonge la rive.

La salle s’éteint, moi homme orchestre de cette scène après quelques mots d’accueil au public, je ressens la nécessité de le rassurer. Ils allaient être cette nuit d’été, les invités ou témoins d’un monologue interprété par 40 comédiens ! Pas très commun ! non ! (à suivre)

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21h45 :

IV) 21h40 (suite) Les échos du « Passager »

« Avant, tout était pas comme aujourd’hui ! »

« Vigipirate » !

Les deux vigiles de service ont assurés la sécurité ambiante… Relaxe ; au Talki Walki, nos deux compères vigiles devisent à propos de réglage de chaudière et de luxuriance !

 

Quéaux disaient les anciens était le pays des sorciers ! (sourciers!)

La légende dit que depuis la révolution, dans la nuit de la Saint Jérôme, les cloches de L’abbaye des Cordelliers disparues dans la rivière sonnent à minuit !

Il se dit qu’il y a des fantômes dans un château du village !

C’est l’heure de la naïade blanche…

« Parmi les joncs penchants, j’ai cru voir une fée… »

Regardez biens petits

 Regardez biens amis

Sur la plaine là-bas

À hauteur des roseaux

Entre ciel et moulins

Y a un homme qui vient

Que je ne connais pas…

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(V) 21h55 (suite) Les échos du « Passager »

« J’arrive me réfugier ici … Après quatre jours de courses effréné dans ce qui fut mon royaume, » la mère Ubu…

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22h (suite) Les échos du « Passager »

Du rivage les cornes de brume appellent. Au loin, une corne de brume répond, on distingue des embarcations.

« Ils arrivent »Viens voir les musiciens voir les comédiens, ils arrivent…

Un radeau accoste chargé d’une carriole et de musiciens.

Des canots arrimés au bout du quai, descendent des comédiens.

Ils s’installent… (à suivre)

 

 

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(VI) 22h15 (suite) Les échos du « Passager »

Ne pas oublier les passagers de « l’aller sans retour »… J’ai tué le désir de mon avenir… J’ai jeté un regard sur l’autre rive… nous y sommes. (à suivre)

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(VII) 22h20 (suite) Les échos du « Passager »

Devant ce rideau, plus fou que les fous sont les sages, plus sages que les sages sont fous… L’ancien roi d’Aragon se hâte vers son bain… Parcourir à loisirs les magnifiques formes de la géante… Sandrine digne fille … Deux plongeuses avec palmes et tubas recherchent Albert. «Chaque fois que j’accostais quelque part, j’imaginais déjà un autre part que ce quelque part où jeter l’ancre… « (à suivre)

 

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 (VIII) 22h30 (suite) Les échos du « Passager »

Il arrive, mais de quel ailleurs ? Échoué là, avec son paquet « le Passager » en toute familiarité et confidence entre en conversation avec le public.

… Je ne suis pas seul. Ne croyez pas ça Non, Non !

…J’ai beaucoup d’amis…

…Comment faites vous caporal pour être aimé ainsi de toute la chambrée ? Moi, je suis habitué mon lieutenant, tout petit déjà !…

…Moi, j’aurais bien fait deux ans trois ans de service militaire…

Trente pompes et répéter la phrase :

« Brigitte Bardot est trop belle pour moi J’suis trop con pour la baiser ! »

 

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(IX) 22h45 (suite) Les échos du « Passager »

Vous voulez que je vous parle de ma femme ?

Et bien un jour tandis que j’étais en transit en France et que je faisais mon tiercé chez Jeannot… Le bar tabac qui est au numéro 23 de la rue des deux gares à Saint-Ouen, elle est entrée et elle m’a vu. (à suivre)

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(X) 23h (suite) Les échos du « Passager »

_Nous ne sommes rien,

Nous ne sommes que des égarés…

Nous implorons, mais en vain. En vain…

C’est terrible de savoir, et de se souvenir…

_Non ! Non ! Non ! Non ! Non !!!

Je cherche un être à envahir

Montagne de fluide, paquet divin, …

_Nous manquons d’arbitres. Il en faudrait partout, partout…

_Autrefois pour faire sa cour

On parlait d’amour…

Aujourd’hui c’est plus pareil

Ça change, ça change… (à suivre)

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 (XI) 23h20 (suite) Les échos du « Passager »

_C’était moi le bébé. On grandit vite !…

_L’important c’est de découvrir qui nous sommes vraiment…

_Je m’appelle Irma Lambert, je suis de Fursac…

_Il est bon de savoir que sur un rivage, ou une forêt du monde il existe là bas, il est une cabane où quelque chose est possible, situé pas trop loin du bonheur de vivre… (à suivre)

 

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 (XII) 23h40 (suite) Les échos du « Passager »

_C’est un bon moment le samedi matin, je m’allonge. Il règne dans le cabinet de Roger Freud un étrange silence, comme une sorte de pensée reptilienne, du repli, une sorte d’ approfondissement métaphysique du forage, un outil thérapeutique et amnésique à la fois et tout cela baigné par une forte odeur de f…e f….e et de p…s.
_La griserie des chefs d’œuvre qui vous bouleverse la composition sanguine et vous exagère les sens, parce que quoi ? Georges, quoi ? Il avait juste une petite b…….n pour moi, une fierté de la v…e, un élan, une chaleur des r…s, pas plus…

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(XIII) 24h… Minuit (suite) Les échos du « Passager »

_ Le « parachute doré » ! Vous connaissez ? …

_Nous n’avions même pas eu la force de nous embrasser avant d’éteindre la lumière ce soir-là…

_Ah ! Si tu savais, si tu voulais… J’ai un pavillon sur un promontoire au milieu d’un isthme entre deux océans… Comment ! tu me méprises ? Alors adieu !

_J’ai cessé d’avoir une sexualité. Cela m’encombrait plus qu’autre chose… Je me suis rendu compte que je suivais une mode, pas un désir…

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 (XIV) Minuit 10mn (suite) Les échos du « Passager »

_ Je n’ai conservé que cela…

« La fin justifie les moyens, moi je n’ai pas les moyens de ma faim… c’était écrit de façon minuscule…

_ Soudain dans la fête se détache le sourire d’un forain…

Spasme, démence, fougue..

Sandrine dort fillette…

_ Voilà un an que je cherche…

_ Social dénominateur commun… SDF

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 (XV) Minuit 20 mn (suite) Les échos du « Passager »

Le spectacle avait commencé par la naïade, telle la belle Ophélie, elle jeta un regard sur le rivage en remontant à contre courant.

_ Débarquent : Une intrigante traquée s’accroche à son trésor. Des exilés à la recherche d’un autre monde. Une carriole sur un radeau, des comédiens sur des barques s’installent pour nous jouer, nous amuser, nous séduire et interpeler, nous concerner, aimer ou détester… Un étrange passager débarque…

_Le spectacle se termine par cet homme isolé, que l’on ne connaît pas, il nous jette un dernier regard se laisse emporter par le courant, dans le silence, le grand silence… FIN

 

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Photos de Jean-Jacques Godefroid, Michel et Arlette bonté, Luc Mézière, Julien Lefer, Sophie Guy, Dominique Bercier, Jean Marie Sillard…